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À l'âge de six ans, le ciel s'éclaircit enfin pour Longini : il peut aller à l'école, recevoir ses premières prothèses et apprendre à marcher. Mais moins de deux ans plus tard, le ciel s'obscurcit à nouveau, et le COVID-19 en est largement responsable... Découvrez ici le chemin de Longini vers l'inclusion.
"Ça n'a pas toujours été facile, mais je suis tellement heureuse de voir à quel point il va bien maintenant !".
"Ça n'a pas toujours été facile, mais je suis tellement heureuse de voir à quel point il va bien maintenant ! Quand il est à la maison pendant les vacances, il donne un coup de main aux petites tâches ménagères comme la vaisselle ou l'entretien du jardin, ou bien il va courir avec ses amis dans le quartier. Tous les enfants l'adorent. Je suis vraiment contente qu'il ait pu s'intégrer aux autres enfants."
"Je suis heureux quand je vois que quelqu'un que nous avons aidé retrouve le contrôle de son corps et reprend sa vie en main, arpès avoir eu des soins de réadaptation."
"Je suis heureux quand je vois que quelqu'un que nous avons aidé retrouve le contrôle de son corps et reprend sa vie en main, arpès avoir eu des soins de réadaptation."
Elysée Mwizerwa est assistant technique en réadaptation fonctionnelle pour H.I. Rwanda, où il travaille depuis 2015. Il contribue au développement de la réadaptation fonctionnelle dans son pays.
Handicap International lança ses premiers projets au Rwanda en 1994. Mais aujourd'hui, que fait l'ONG au pays des mille collines ?
Découvrez le quotidien de Razeq, kinésithérapeute pour Handicap International, et de son équipe mobile.
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À l'âge de six ans, le ciel s'éclaircit enfin pour Longini : il peut aller à l'école, recevoir ses premières prothèses et apprendre à marcher. Mais moins de deux ans plus tard, le ciel s'obscurcit à nouveau, et le COVID-19 en est largement responsable. Découvrez ici le chemin de Longini vers l'inclusion.
"Ça n'a pas toujours été facile, mais je suis tellement heureuse de voir à quel point il va bien maintenant !"
"Ça n'a pas toujours été facile, mais je suis tellement heureuse de voir à quel point il va bien maintenant ! Quand il est à la maison pendant les vacances, il donne un coup de main aux petites tâches ménagères comme la vaisselle ou l'entretien du jardin, ou bien il va courir avec ses amis dans le quartier. Tous les enfants l'adorent. Je suis vraiment contente qu'il ait pu s'intégrer aux autres enfants."
"Je suis heureux quand je vois que quelqu'un que nous avons aidé retrouve le contrôle de son corps et reprend sa vie en main, arpès avoir eu des soins de réadaptation."
"Je suis heureux quand je vois que quelqu'un que nous avons aidé retrouve le contrôle de son corps et reprend sa vie en main, arpès avoir eu des soins de réadaptation."
Elysée Mwizerwa est assistant technique en réadaptation fonctionnelle pour H.I. Rwanda, où il travaille depuis 2015. Il contribue au développement de la réadaptation fonctionnelle dans son pays.
Handicap International lança ses premiers projets au Rwanda en 1994. Mais aujourd'hui, que fait l'ONG au pays des mille collines ?
Je me rends ensuite chez un enfant qui est tragiquement devenu quadriplégique suite à une frappe aérienne.
Dès la première rencontre, mon équipe mobile avait fourni un fauteuil roulant à Juma. L’enfant poursuit depuis des séances régulières pour améliorer son autonomie. « Le manque d’accès aux soins dans le camp est l’une des raisons pour lesquelles Juma n’avait jamais reçu d’aide avant l’arrivée de Handicap International », témoigne sa maman qui le porte ici à bout de bras.
Je travaille avec Juma des mouvements très précis pour lui permettre de progresser dans sa vie quotidienne, et notamment de pouvoir se servir de ses mains.
J’ai aussi appris à sa maman à lui faire faire faire ses exercices à la maison pour qu’il devienne plus autonome. « Aujourd’hui, se réjouit sa maman, mon fils peut à nouveau bouger ses mains, il va mieux et peut faire certaines choses par lui-même ».
En 2019, c’est dans ce pays que l’on a enregistré le plus grand nombre de victimes civiles, avec 10 392 civils blessés ou tués. Ces civils ont été victimes d’engins explosifs improvisés, d’interventions sur le terrain, de frappes aériennes ou d’autres opérations militaires. Parmi les morts et les blessés, 42% sont des femmes ou des enfants.
Ce garçon souffre d’une faiblesse de ses muscles (dystrophie musculaire). Il est toujours très joyeux quand il me voit arriver.
Abdul, 8 ans, est né dans une famille pauvre. Il a été adopté par sa tante. A cause de la guerre, ils ont dû émigrer vers la province de Herat.
Lorsque j'ai commencé à soigner Abdul, sa famille était assez réservée. Mais comme il a commencé à aller de mieux en mieux, sa famille est devenue très impliquée dans ses exercices quotidiens.
Cet après-midi, je vais continuer ma tournée dans ce village isolé où d’autres enfants attendent mes soins.
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