Enfants victimes de guerre : aidons-les à retrouver leur insouciance !

Changeons la donne pour les enfants victimes de la guerre !

Nos spécialistes remettent debout des enfants qui ne veulent qu’une chose :
retrouver leur joie de vivre.

Tous les jours, les populations civiles vivant dans des pays en guerre paient le prix le plus élevé. Rien qu’en Syrie et au Yémen, des dizaines de milliers d’enfants et d'adultes endurent d'immenses souffrances à cause de conflits dont on ne voit pas la fin. Plus près de chez nous, les enfants d'Ukraine souffrent aussi à cause de la violence armée. Peu importe le pays. A chaque fois, les bombes tombent à l'aveugle, détruisant aussi bien les maisons, les hôpitaux et les écoles que les cibles militaires. Des enfants sont tués, blessés aussi bien dans leur corps que dans leur esprit. Et la guerre continue de faire des victimes après la fin du conflit. L'Afghanistan reste l'un des pays les plus contaminés par les restes explosifs de guerre, dont les mines antipersonnel.

Nos équipes de kinésithérapeutes, d'ortho-prothésistes et de travailleurs psycho-sociaux aident ceux qui survivent à reprendre le chemin de leur vie. Découvrez comment ces enfants arrivent à se remettre debout !

Salam

Jordanie

Salam ramassait des olives dans un champs près de chez elle, en Syrie, quand elle y trouva un drôle de morceau de métal, une petite bombe, qui a explosé. Elle avait tout juste 5 ans. Après son opération d'urgence en Jordanie, un kinésithérapeute de H.I. la suivie. Au début, elle marchait avec un déambulateur pour renforcer sa jambe droite, blessée elle aussi. Elle a ensuite appris à marcher avec une prothèse. Elle peut maintenant peut facilement aller à pied à l'école et a repris confiance en elle. Sa prothèse doit être changée tous les 5 ans.

Fatehia

Yémen

« On m’a apporté des béquilles. Je les détestais parce qu'elles me rendaient laide ! » se souvient Fatehia, une jeune fille traumatisée par l’attaque aérienne qui a détruit son école il y a trois ans. Grâce au suivi psychologique de nos équipes, elle accepte mieux son handicap et reprend goût à la vie. Celle qui était devenue mutique a retrouvé son sens de l'humour. Elle rit beaucoup, et de tout ! Plus tard, elle veut devenir dentiste, mais aussi une brillante artiste à ses heures perdues.

Amina

Afghanistan

Amina a 7 ans et a perdu sa jambe, sa mère et ses deux sœurs lors des violents affrontements qui ont eu lieu pendant la prise du pouvoir par les talibans en juillet 2021. Après avoir été appareillée d'une prothèse, elle s'applique à faire des exercices de rééducation avec l'un des kinésithérapeutes de Handicap International au centre de réadaptation de Kandahar.

Tariq

Yémen

Quand des bombes pleuvent sur la ville, elles tuent ou mutilent des civils. C’est le sort qu’a subi Tariq, un jeune Yéménite, qui s’est retrouvé amputé d’une jambe après avoir été blessé par un obus à l’âge de 8 ans. Grâce aux kinésithérapeutes de Handicap International, il a pu recevoir une prothèse et suivre des séances de rééducation. Jour après jour, il retrouve la joie de marcher, sauter et jouer avec ses amis.

Imran

Afghanistan

Imran habite dans le district d'Arghandab de la province de Kandahar. Il a 7 ans et jouait dehors avec ses amis : "Je grimpais sur la colline du village de Kohak avec mes amis, j'ai vu quelque chose d'étrange et quand je l'ai touché, ça m'a explosé dessus." Imran a perdu ses deux jambes. Son père l'a amené à l'hôpital régional de Mirwais, où il a été admis pour une intervention chirurgicale. Il a ensuite été orienté vers le centre de réadaptation de H.I. Après avoir reçu ses prothèses, il a suivi une formation pour s'adapter à ses nouvelles jambes artificielles.

À quoi sert concrètement votre don ?

Salam fait des exercices dans une salle de kinésithérapie équipée avec des ballons d’exercice, des barres parallèles aussi.

Utiliser un équipement de qualité

Handicap International équipe les centres de revalidation avec du matériel spécialisé, afin de permettre aux patients de recevoir le soutien médical de haute qualité dont ils ont besoin.

Faire un don

Personne en fauteuil roulant recevant des soins de réadaptation

Donner des soins de réadaptation

Les centres soutenus par Handicap International fournissent aux patients des soins de réadaptation. Ils distribuent aussi des aides à la mobilité : béquilles, chaises roulantes et des appareillages orthopédiques (orthèses, prothèses).

Faire un don

Un homme jeune assis dans une chaise roulante. Un spécialiste de Handicap International examine son orthèse.

Une spécialiste montre une feuille à une petite fille assise sur un tapis de jeu.

Apporter une aide psychologique

Les spécialistes de Handicap International s’efforcent d’apporter un soutien psychologique en plus des soins de réadaptation proposés à leurs patients, que ce soit pour que ces patients expriment leurs traumatismes ou pour les aider à accepter leur handicap. Ils apportent aussi un soutien aux proches.

Faire un don

Dispenser des formations

Handicap International organise des sessions de formations spécialisées et de sensibilisation pour les kinésithérapeutes et le personnel soignant des structures médicales travaillant sur les soins de réadaptation et la prise en charge des blessures de guerre.

Faire un don

Un formateur de Handicap International conseille un technicien orthopédiste occupé à fabriquer une prothèse.

Comme Imran, Tariq ou Fatehia, d’autres enfants peuvent se relever grâce à la solidarité

Chaque année depuis près de 40 ans, Handicap International vient en aide à des enfants, des femmes et des hommes handicapés ou vulnérables, victimes de conflits, de catastrophes naturelles ou de maladies. Vos dons nous permettent d’appareiller, de soigner et d’accompagner des milliers de personnes vers l’autonomie.

25 €

Vous offrez une paire de béquilles à un enfant.

Faire un don de 25 €

50 €

soit 27,5 € après
déduction fiscale

Vous contribuez à la fabrication d'une prothèse ou d'une orthèse.

Faire un don de 50 €

100 €

soit 55 € après
déduction fiscale

Vous contribuez aux soins de kinésithérapie et au soutien psychologique.

Faire un don de 100 €

Vous pouvez les aider dans la durée !

Pour accompagner ceux qui en ont besoin en toute simplicité, optez pour une domiciliation. La régularité de votre soutien nous donne le temps nécessaire pour accompagner chaque personne vulnérable ou handicapée dans sa reconstruction. Ce type de soutien nous permet également de réduire nos frais de collecte. Vous restez bien sûr libre de l’interrompre à tout moment par simple appel ou courrier.

10 € / mois

soit 0,5 € / jour

contribuent aux soins des enfants victimes de guerre.

JE SOUTIENS DANS LA DURÉE